Jour bien spécial, beaucoup de pluie, alors on trouve toujours autre chose à faire.
Depuis que je viens ici, au Guatemala, j’ai fait tout plein de choses, de métiers, d’aide de toute sorte, mais jamais je n’aurais penser faire le « psy ».
Le jeune (début vingtaine) Roberto est arrivé ce matin l’aire triste. tous ses amis de l’association l’ont questionné, mais Roberto ne disait pas un mot, même pas à moi. Avant le diner, je l’ai emmené à l’écart de tous et je l’ai questionné très sérieusement, mais sant le brusquer.
La réponse de mon ami… « Ma maman est à l’hôpital, elle fait de la pression ». Après m’avoir dévoilé ce qui n’avait pas, Roberto s’est mis à pleurer. Je l’ai consolé du mieux que j’ai pu, mais ça me semblait nébuleux, il semblait vraiment dépourvu.
Roberto vit seul avec sa maman pauvre à l’extrême tout près de l’association. Je l’ai invité à aller voir si sa maman était revenu, mais tout était barré, personne y était.
Ne connaissant pas beaucoup le jeune, je me suis informé ici à Lufecadis, j’ai appris qu’il consommait le soir avec de faux amis dans un cartier non recommandé de Poptun. Ici, à l’association, nous lui donnons un petit salaire et c’est le seul argent qui entre dans la maison. Ses amis semble se tenir avec lui pour les quelque Quetzals qu’il gagne ici.
J’ai fini par lui faire comprendre que la boisson était très négative dans sa pauvre vie. Que nous à l’association, étions ses vrais amis et qu’Il fallait s’éloigner de ce soit disants amis.
Je lui ai même offert, vu que je suis proche de chez lui, de venir quand il veux pour parler quand il en aura besoin.
Il a terminé la journée avec plus d’entrain et avant de partir il est venu me saluer.
Après mon souper, je suis aller leur rendre visite, la maman était très heureuse de me voir et Roberto aussi. Je leur ai promis mon aide, mais seulement à condition qu’il s’éloigne de l’alcool et de ses amis influents. Il fait parti de la grande famille de Lufecadis et nous allons tout faire pour l’aider.
Quand il manque quelqu’un ici, j’essaie de prendre sa place, même un Psy…
