On continue de tester ma patience…
San Martin La Cueva… La M…. se poursuit pour ce C….. de projet.
Vendredi, hier, avant de quitter San Martin La Cueva, j’ai demandé au chef albanil s’il avait besoin de ciment pour terminer le projet. Devant notre « stock » de poche de ciment, nous avons compté ce qui nous restait pour terminer ce projet. Ma question, très importante et pas compliqué pour un chef albanil très bien payé, mais surtout pour moi… Avons-nous suffisamment de ciment pour terminer le projet?
San Martin La Cueva n’est pas à la porte tu sais, lui dis-je, faut pas oublier rien et surtout pas le ciment.
Pas de problème, on en a assez pour terminer…
Ok! Tu es certain, lui demandais-je une seconde fois, pour être certain.
Oui, oui « securo » comme on dit en espagnol.
La ferreteria est à plus de trois heures aller retour de La Cueva. Après avoir cassé une lame de ressort hier, je n’ai pas besoin de vous faire un dessin de l’état de la route pour s’y rendre.
Ben imaginez-vous que vers 15h30 aujourd’hui, qui arrive ici? Les deux albanils, qui m’annonce qu’ils ont besoin de, pas 1, pas 2 mais 18 poches de ciments. Une erreur de 18 poches de ciment, du jamais vu dans mes 9 années ici. Et comme je le mentionnais, la quincaillerie est au bout du monde et tous fermées demain, dimanche.
J’ai pas besoin de vous dire qu’après les problèmes de camion, du non payement de la tôle par le député, je n’avais pas besoin de ça, mais pas du tout.
En plus, je les paie tous les deux (albanils) pour venir m’annoncer ça.
Deux heures plus tard, je suis un peu calmé, mais je vais mettre la « switch » à off jusqu’à lundi matin. Mon cerveau devra trouver une solution, mais là c’est trop, beaucoup trop…
Bonne soirée à tous…
Je vous aime
À suivre…