Le suspense se poursuit, je ne peux partir avant deux semaines car l’aéroport de Guatemala est fermer pour ces deux semaines. Je retourne donc au travail demain comme c’était prévu au début. Tout est tellement imprévisible ici, une heure on dit quelque chose et une heure plus tard c’est autre chose…

J’ai fait mettre ma remorque à date avec les nouveaux projets, mais nous auront peu être le temps d’en terminer un autre. Vaux mieux er rire…
Bien fière des réalisations de ces neuf années.
Pensant que je partais demain, les amis m’avaient préparé une surprise…
Un beau gâteau indiquant qu’ils alaient s’ennuyer de Mariano
Un cadeau de Fernando et les amis…
Nous allons continuer le travail à Lufecadis…

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